Dans les années 2000—2010, plusieurs travaux de recherche et de photographie m’amènent à interroger l’empreinte de la mémoire dans des oeuvres d’artistes contemporains, ainsi que les processus de fabrication et matériaux qu’ils utilisent. Le travail du sculpteur Anish Kapoor est alors une référence importante pour mes recherches.

En 2011, son oeuvre Le Léviathan est présentée au Grand Palais à Paris (Monumenta): la sensation physique d’être à l’intérieur d’une membrane gigantesque, transparente, dans laquelle se reflète la structure métallique de l’immense verrière du Grand Palais.